Fuir la débauche et s'attacher au Seigneur (1 Cor. 6 12-20)
(En ligne sur Teams)
David Cadotte
Noël - Chants & courts messages + présentation La p'tite boîte à soulier (François Bergeron)
Le ministère d'adoration (Genèse 22)
3 janv. |
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Stéphane Demers
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– Stéphane Demers | |
10 janv. |
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Marc Rochette
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– Marc Rochette | |
17 janv. |
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Les dons du célibat et du mariage (1 Cor. 7. 1-9)
Denis Guay
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– Denis Guay |
« Parfois l’on entend dire, jusque dans l’Église : puisque Dieu est amour, il pardonne de toute façon, Il est bon et miséricordieux, Il sait bien que nous sommes faibles et pécheurs, mais justement, parce qu’il est amour il passe l’éponge sur tous nos égarements. Pas besoin de la croix pour cela. Certains disent même avec une légèreté qui n’a d’égal que leur aplomb : “Dieu pardonne, c’est son métier !”
Certes, Dieu est bon et miséricordieux, lent à la colère et riche en bienveillance (Ps. 103 : 8), mais Il est aussi saint. Le péché, le mal lui sont insupportables, ses yeux sont trop purs pour voir le mal (Hab. 1 : 13). Il ne tient pas le coupable pour innocent (Ex. 34 : 7). Le mal, le péché ne peuvent trouver place en sa présence. C’est pour cela que dans le Tabernacle, puis dans le Temple, un rideau très épais séparait le lieu saint du lieu très saint dans lequel nul n’avait le droit de pénétrer sinon le grand prêtre, et encore une seule fois par an, le jour du grand pardon, quand il apportait le sacrifice d’expiation (Yom Kippour). Cette interdiction était même si stricte que l’on attachait une corde à la jambe du grand prêtre pour que, s’il lui arrivait un malaise pendant qu’il officiait dans le lieu très saint, on puisse le tirer sans être obligé d’y pénétrer !
La bonté de Dieu ne fait pas de lui un être indulgent et bonasse, comme ces parents faibles qui laissent tout faire à leurs enfants sans jamais les reprendre. Pauvres parents que ceux-là ! Et pauvres enfants dont c’est le plus sûr moyen d’en faire des adultes frustrés, malheureux et parfois délinquants ! Non, Dieu n’est pas ce “bon Dieu” qui n’est au fond qu’un “bon diable !” Saint, saint, saint est le Seigneur, disent les séraphins qui se tiennent au-dessus du trône de Dieu. Devant cette révélation, le prophète Ésaïe ne peut que s’écrier : malheur à moi, je suis perdu car je suis un homme dont les lèvres sont impures. (És. 6 : 1-7) » (Philippe Decorvet & Thierry Juvet)
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